Voici, en deux tableaux, les résultats de ces élections européennes 2019 qui se sont déroulées ce 26 mai. Lire la suite « Élections européennes 2019 – les résultats sur Oloron »
Mois : mai 2019
Démission du vice-président du FCO rugby de la commission d’appel d’offres de la commune : le début de la sagesse
Un écho de La République nous l’apprend ce samedi matin : au lendemain de son élection à la vice-présidence du FCO Rugby, Pierre Serena a « décidé » de démissionner de son poste de membre suppléant de la commission d’appel d’offres de la commune. Le blogueur ne veut pas être présomptueux et s’attribuer des mérites qui ne sont pas les siens, mais il trouve qu’il y a une drôle de coïncidence entre cette sage décision et la publication sur Oloronblog d’un article mettant en garde Pierre Serena sur les gros risques juridiques que fait peser sur lui un cumul de fonctions risquant de le confronter à des situations inextricables. Lire la suite « Démission du vice-président du FCO rugby de la commission d’appel d’offres de la commune : le début de la sagesse »
Oloron, capitale éphémère du street art – Paris n’a qu’à bien se tenir (chronique diaporamas)
Au-delà du titre un peu ironique de ce billet, il faut saluer ici l’initiative d’élèves du lycée agricole de Soeix qui, avec la complicité de la mairie d’Oloron, ont su sortir durant quelques heures la rue Louis-Barthou de sa torpeur et de sa grisaille. En en faisant durant quelques heures, grâce à leur imagination et leur créativité, une artère animée, pleine de couleurs. C’est ça, l’effet street art. Lire la suite « Oloron, capitale éphémère du street art – Paris n’a qu’à bien se tenir (chronique diaporamas) »
À la fois adjoint aux sports, membre de la commission d’appel d’offres de la commune, vice-président de l’association sportive la plus subventionnée par la commune : un cumul de fonctions à haut risque juridique
Pierre Serena vient donc d’être élu (brillamment) à la vice-présidence du FCO Rugby. Selon toute vraisemblance, le verdict des urnes ne lui permettra pas en mars prochain de cumuler, comme aujourd’hui, cette fonction avec celle d’adjoint aux sports à la mairie et/ou celle de membre de la commission d’appel d’offres de la commune. Un cumul aujourd’hui à haut risque. Lire la suite « À la fois adjoint aux sports, membre de la commission d’appel d’offres de la commune, vice-président de l’association sportive la plus subventionnée par la commune : un cumul de fonctions à haut risque juridique »
De la bonne méthode pour injurier publiquement quelqu’un sans encourir les foudres de la Justice (chronique « et les juristes appelleront ça la jurisprudence Lucbéreilh »)
J’indiquais dans un précédent billet attendre d’avoir entre les mains l’intégralité du jugement du tribunal correctionnel dans l’affaire d’injure publique m’opposant à monsieur Lucbéreilh avant de faire connaître mon point de vue. Ce jugement, j’en dispose depuis hier. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il me laisse songeur, et c’est là un euphémisme. Lire la suite « De la bonne méthode pour injurier publiquement quelqu’un sans encourir les foudres de la Justice (chronique « et les juristes appelleront ça la jurisprudence Lucbéreilh ») »
Avec le belvédère de la rue Louis-Barthou, Maïté Potin ouvre le bal des promesses électorales improbables
Qu’on se le dise : les 10 mois qui nous séparent encore des prochaines élections municipales risquent d’être propices à l’annonce de nombre de projets tous plus séduisants les uns que les autres. Que voulez-vous, il faut savoir faire rêver les électeurs si l’on veut gagner leurs voix. Toute annonce de ce genre doit donc être reçue à partir de maintenant avec le maximum de circonspection et de vigilance. À Oloron, c’est une conseillère municipale qui a ouvert le bal de ces promesses électorales improbables. Lire la suite « Avec le belvédère de la rue Louis-Barthou, Maïté Potin ouvre le bal des promesses électorales improbables »
Lucbéreilh, poursuivi pour injure publique et relaxé : la réaction en trois temps du blogueur
Rappel des faits : au cours d’un point presse, monsieur Lucbéreilh traite le blogueur de « pervers narcissique ». Celui-ci porte plainte pour injure publique. Un juge d’instruction met en examen puis renvoie devant le tribunal correctionnel l’injurieur. Ce dernier est relaxé par le tribunal. Ce qui déjà prouve que la Justice n’est pas une science exacte puisque, appelés à se prononcer sur les mêmes faits, deux catégories de magistrats ont une appréciation différente sur leur nature. Réaction en trois temps du blogueur sur cette relaxe.